J'ai conté ici la découverte le 20/5, 140e jour de l'année et sa petite section d'or, d'une pierre offrant une face très proche d'un rectangle d'or, d'environ 56 x 91 cm. Le 22 je suis retourné sur les lieux avec une pièce de tissu découpée en rectangle d'or, et la perfection avec laquelle cette pièce épousait la pierre me fit douter de ma première appréciation, l'absence de toute intervention humaine sur cette pierre perdue dans la nature.
Cette question me semble secondaire, tant d'autres curiosités se sont ensuite révélées. C'est ainsi qu'au soir de ce 22 mai j'apprenais la publication d'un recueil de nouvelles auquel j'avais participé, ce qui me remémora que j'avais imaginé dans ma contribution une stèle de pierre correspondant à un rectangle d'or.
Ce n'était pas dû uniquement à mon imagination, car ma nouvelle L'enchanté réseau calquait l'affaire de Rennes-le-Château avec pour ligne directrice l'anagramme, ainsi ma stèle présentait un texte qui était l'anagramme exacte de la stèle de la marquise de Blanchefort, au coeur de la plupart des spéculations, certaines d'entre elles utilisant le fait que cette stèle s'inscrit dans un rectangle d'or assez parfait.
Réétudiant la question aujourd'hui, je découvre ici une thèse mise très récemment en ligne, il y a quelques semaines à peine, où l'aspect doré de la stèle est au premier plan de l'analyse (ici une partie des spéculations que je connaissais, issues du livre de Patrick Mensior, L'Extraordinaire Secret des Prêtres de Rennes-le-Château).
Je précise de suite que je n'ai jamais pris au sérieux ces histoires de stèles, de parchemins, de cryptogrammes sibyllins, ce dont j'ai rendu compte ici, et que ma nouvelle était écrite dans cet esprit.
Je m'intéresse cependant à ce "mythe agglutinant", selon l'expression de Philippe Marlin, parce qu'il est riche en bizarreries, révélées peut-être parce que les chercheurs en ont scruté au microscope les moindres détails. Le délire commence lorsqu'on en vient à isoler quelques-unes de ces bizarreries, en oubliant toutes les autres, et à décréter que ces bizarreries-là "ne peuvent être le fruit du hasard..."
Le sujet de ce billet n'est cependant pas la critique des élucubrations castelrennaises, mais l'approfondissement d'une coïncidence qui a priori doit tout au hasard, l'impression de la nouvelle où j'imaginais une stèle dorée au moment même de ma découverte d'une pierre dorée, et ce le 20/5 section d'or de l'année.
On peut certes mettre en doute mon témoignage, du moins quant à la date de ma découverte, mais la suite impliquerait de multiples complicités.
J'ai reçu le 25 mai mes exemplaires d'auteur de Rêves de Razès, avec donc de nouvelles curiosités.
Le livre est au même format que la plupart des autres volumes édités par l'Oeil du Sphinx, excepté les reprints, et je m'aperçois à cette occasion que c'est un format presque idéalement doré, 225x140 mm. Mieux, ces nombres peuvent être considérés comme les grande et petite sections d'or de leur somme, 365
(365 x 0.618 = 225.57), illustrant le fait que la petite section d'or de l'année tombe son 140e jour, le 20 mai.
J'ai figuré les sections d'or verticales et horizontales sur cette couverture, ce qui démontre essentiellement que le maquettiste ne semble pas s'être soucié d'harmonie dorée.
Hors sa couverture cartonnée, le livre compte 206 pages, la dernière foliotée étant la page 205, où figure la table des matières.
J'ai vérifié ce compte, inhabituel pour les livres reliés à l'ancienne, faits de cahiers comportant obligatoirement un nombre de pages multiple de 4, mais les livres actuels sont souvent faits de feuilles individuelles assemblées par de la colle, ça dure ce que ça dure.
La grande section d'or tombe dans ma nouvelle, et la prise en compte de la dernière page foliotée mène à cette belle coïncidence :
205 x 0.618 = 126.69
soit à l'endroit presque exact, peu après le milieu de la page 127, où Bérenger Saunière, instruit par Claude Debussy lui-même de l'importance du "divin nombre", s'avise que les proportions de la stèle sont dorées :
La tranche de Rêves de Razès indique OdS 34, probablement parce que c'est le 34e livre original publié par l'Oeil du Sphinx. En même temps que ce recueil, j'avais au courrier ce 25 mai le dernier numéro de Fleur de Lune, le bulletin trimestriel de l'AAMF, l'Association des Amis de Maurice Fourré, étrange écrivain auquel je m'intéresse d'un peu loin.
Il s'agit du n° 21 du bulletin, et il faut savoir que 21 et 34 sont des nombres de la suite de Fibonacci, incontournable dès qu'il s'agit du nombre d'or. Ainsi 21/34 est la première fraction donnant l'arrondi à 3 décimales du nombre d'or, 0.618.
Je rappelle que c'est un rectangle de 55x89 cm, les nombres de Fibonacci suivants, que j'avais étendu 3 jours plus tôt sur la Pierre pour vérifier à quel point elle était proche d'un rectangle d'or idéal.
Ce sont mes amis Béatrice et Bruno qui assurent la publication de Fleur de lune, les mêmes qui m'avaient envoyé en juillet dernier Le roi Mézel, ce qui était entré dans une formidable coïncidence impliquant les nombres de Fibonacci 21-34-55-89. Je rappelle qu'ils habitent le 21, mais m'avaient envoyé Le roi Mézel du 89 limitrophe. Le cachet de la poste indique que le Fleur de lune n° 21 est parti de 21 - Ste Colombe/Seine - Côte d'Or, le 23-05.
Ma nouvelle était centrée sur le décryptage de la stèle dorée de Basile Rexadon, un nom signifiant triplement "roi". Et c'est à 3 km à vol d'oiseau de Mézel que j'ai découvert la Pierre dorée.
Ce numéro de Fleur de lune contenait un texte de moi, extrait de mon autre blog Quaternité où j'étudiais les possibles allusions à Fourré dans l'oeuvre de Fred Vargas, fille du surréaliste Philippe Audoin, auteur d'un livre sur Fourré. Mes publications sur papier sont plutôt rarissimes, et je n'ai pas souvenir d'avoir jamais reçu le même jour deux documents avec mes contributions.
Quoi qu'il en soit, le surréalisme peut être un lien entre Fourré et Rennes-le-Château, puisque c'est André Breton lui-même qui a fait connaître Fourré, et son disciple Gérard de Sède qui a popularisé l'énigme du Razès dans son L'or de Rennes (1967).
Parce que le thème m'inspirait davantage que d'autres fariboles, j'ai utilisé la piste Rose+Croix privilégiée par Gérard de Sède, en mentionnant nommément dans ma nouvelle le premier manifeste Rose+Croix, la Fama Fraternitatis de 1614, que les familiers abrègent volontiers en FAMA.
Alors que l'anagramme est le thème directeur de L'enchanté réseau (anagramme de Rennes-le-Château), je me suis avisé en réglant ma cotisation en retard à l'AAMF que c'était une anagramme de FAMA...
Quelques petites choses annexes :
- Je ne peux donner ici de précisions qui ne seraient peut-être pas du goût des propriétaires des véhicules concernés, mais je crois devoir signaler de multiples synchronicités impliquant des numéros d'immatriculation au cours de cette affaire. Ainsi, le 25, après avoir reçu le FdL 21 et l'OdS 34, je me suis remémoré l'envoi du Roi Mézel en juillet, à la fois du 21 et du 89, et, à l'instant précis où j'avais ces nombres en tête, j'ai croisé presque l'une à la suite de l'autre deux voitures avec chacune 21 et 89 dans leurs immatriculations (dont le détail m'est encore plus signifiant).
- J'ai déjà rencontré un autre livre remarquable, de même format 225x140 mm que Rêves de Razès, et dont l'achevé d'imprimer est daté du 19 mai 2000 (soit le jour où tombe la petite section d'or d'une année bissextile). Il s'agit de La mort des neiges, de Brigitte Aubert, étudié ici.
- Je pensais avoir innové en faisant intervenir Debussy dans une fiction castelrennaise, or depuis l'écriture de ma nouvelle est paru Sépulcre, de Kate Mosse, en octobre 2007 pour la version originale, où une partition de Debussy est au coeur de l'énigme languedocienne. Je n'y ai jeté qu'un coup d'oeil.
- Le titre de ce billet fait allusion au dernier vers du recueil Alphabets :
UNRAZESTLOI
que Perec propose de lire "un raz est loi", tout en indiquant que d'autres lectures sont possibles, alors j'ai gardé la séquence Razès pour proposer une anagramme formant un vers tout aussi valide.
- Je comptais inclure le récit d'une autre promenade début mai, riche en coïncidences fibonacciennes, mais ce sera l'objet du prochain billet.
Note du 8 juin : cette réception le 25 mai de FdL 21 et de OdS 34 m'a rappelé une aventure éditoriale que je me suis abstenu de mentionner, tant elle restait hypothétique, et voici que j'apprends aujourd'hui la parution officielle de Teckel n° 4 le 16 juin, ce qui va actualiser la coïncidence détaillée sur cette page.
Mes différentes contributions totaliseront ainsi 21 pages dans les numéros 3-4 de Teckel, et 34 pages dans les numéros 2-1.
Note du 12 juillet : je ne comprends pas comment j'ai pu oublier jusqu'à hier que mon actualité éditoriale de mai comptait un autre titre que l'OdS 34 et le FdL 21, la BLO 13, ou 13e volume de la Bibliothèque de la Liste Oulipo, qui honore de jeux de langage divers un membre de cette liste, à ne pas confondre avec l'Oulipo tout court (dont certains membres sont cependant sur la liste). Cette BLO 13 fut décidée fin janvier pour célébrer les 50 ans de Jacques Perry-Salkow (auteur de deux recueils d'anagrammes au Seuil), imprimée à 1 exemplaire officiel, et remise à l'intéressé le 22 mai.
Je m'étais pourtant émerveillé, en consultant peu avant le projet, de voir que cette BLO 13 réunissait les oeuvres de 21 contributeurs.
On peut voir ici ma contribution, et là l'ensemble du recueil (10 Mo).
Cette question me semble secondaire, tant d'autres curiosités se sont ensuite révélées. C'est ainsi qu'au soir de ce 22 mai j'apprenais la publication d'un recueil de nouvelles auquel j'avais participé, ce qui me remémora que j'avais imaginé dans ma contribution une stèle de pierre correspondant à un rectangle d'or.
Ce n'était pas dû uniquement à mon imagination, car ma nouvelle L'enchanté réseau calquait l'affaire de Rennes-le-Château avec pour ligne directrice l'anagramme, ainsi ma stèle présentait un texte qui était l'anagramme exacte de la stèle de la marquise de Blanchefort, au coeur de la plupart des spéculations, certaines d'entre elles utilisant le fait que cette stèle s'inscrit dans un rectangle d'or assez parfait.
Réétudiant la question aujourd'hui, je découvre ici une thèse mise très récemment en ligne, il y a quelques semaines à peine, où l'aspect doré de la stèle est au premier plan de l'analyse (ici une partie des spéculations que je connaissais, issues du livre de Patrick Mensior, L'Extraordinaire Secret des Prêtres de Rennes-le-Château).
Je précise de suite que je n'ai jamais pris au sérieux ces histoires de stèles, de parchemins, de cryptogrammes sibyllins, ce dont j'ai rendu compte ici, et que ma nouvelle était écrite dans cet esprit.
Je m'intéresse cependant à ce "mythe agglutinant", selon l'expression de Philippe Marlin, parce qu'il est riche en bizarreries, révélées peut-être parce que les chercheurs en ont scruté au microscope les moindres détails. Le délire commence lorsqu'on en vient à isoler quelques-unes de ces bizarreries, en oubliant toutes les autres, et à décréter que ces bizarreries-là "ne peuvent être le fruit du hasard..."
Le sujet de ce billet n'est cependant pas la critique des élucubrations castelrennaises, mais l'approfondissement d'une coïncidence qui a priori doit tout au hasard, l'impression de la nouvelle où j'imaginais une stèle dorée au moment même de ma découverte d'une pierre dorée, et ce le 20/5 section d'or de l'année.
On peut certes mettre en doute mon témoignage, du moins quant à la date de ma découverte, mais la suite impliquerait de multiples complicités.
J'ai reçu le 25 mai mes exemplaires d'auteur de Rêves de Razès, avec donc de nouvelles curiosités.
Le livre est au même format que la plupart des autres volumes édités par l'Oeil du Sphinx, excepté les reprints, et je m'aperçois à cette occasion que c'est un format presque idéalement doré, 225x140 mm. Mieux, ces nombres peuvent être considérés comme les grande et petite sections d'or de leur somme, 365
(365 x 0.618 = 225.57), illustrant le fait que la petite section d'or de l'année tombe son 140e jour, le 20 mai.
J'ai figuré les sections d'or verticales et horizontales sur cette couverture, ce qui démontre essentiellement que le maquettiste ne semble pas s'être soucié d'harmonie dorée.
Hors sa couverture cartonnée, le livre compte 206 pages, la dernière foliotée étant la page 205, où figure la table des matières.
J'ai vérifié ce compte, inhabituel pour les livres reliés à l'ancienne, faits de cahiers comportant obligatoirement un nombre de pages multiple de 4, mais les livres actuels sont souvent faits de feuilles individuelles assemblées par de la colle, ça dure ce que ça dure.
La grande section d'or tombe dans ma nouvelle, et la prise en compte de la dernière page foliotée mène à cette belle coïncidence :
205 x 0.618 = 126.69
soit à l'endroit presque exact, peu après le milieu de la page 127, où Bérenger Saunière, instruit par Claude Debussy lui-même de l'importance du "divin nombre", s'avise que les proportions de la stèle sont dorées :
Il découvrit ainsi que les proportions de la stèle obéissaient au "divin nombre", qui régissait également l'épitaphe du prétendu Basile Rexadon.205 peut encore évoquer le 20/5, le 20 mai section d'or de l'année.
La tranche de Rêves de Razès indique OdS 34, probablement parce que c'est le 34e livre original publié par l'Oeil du Sphinx. En même temps que ce recueil, j'avais au courrier ce 25 mai le dernier numéro de Fleur de Lune, le bulletin trimestriel de l'AAMF, l'Association des Amis de Maurice Fourré, étrange écrivain auquel je m'intéresse d'un peu loin.
Il s'agit du n° 21 du bulletin, et il faut savoir que 21 et 34 sont des nombres de la suite de Fibonacci, incontournable dès qu'il s'agit du nombre d'or. Ainsi 21/34 est la première fraction donnant l'arrondi à 3 décimales du nombre d'or, 0.618.
Je rappelle que c'est un rectangle de 55x89 cm, les nombres de Fibonacci suivants, que j'avais étendu 3 jours plus tôt sur la Pierre pour vérifier à quel point elle était proche d'un rectangle d'or idéal.
Ce sont mes amis Béatrice et Bruno qui assurent la publication de Fleur de lune, les mêmes qui m'avaient envoyé en juillet dernier Le roi Mézel, ce qui était entré dans une formidable coïncidence impliquant les nombres de Fibonacci 21-34-55-89. Je rappelle qu'ils habitent le 21, mais m'avaient envoyé Le roi Mézel du 89 limitrophe. Le cachet de la poste indique que le Fleur de lune n° 21 est parti de 21 - Ste Colombe/Seine - Côte d'Or, le 23-05.
Ma nouvelle était centrée sur le décryptage de la stèle dorée de Basile Rexadon, un nom signifiant triplement "roi". Et c'est à 3 km à vol d'oiseau de Mézel que j'ai découvert la Pierre dorée.
Ce numéro de Fleur de lune contenait un texte de moi, extrait de mon autre blog Quaternité où j'étudiais les possibles allusions à Fourré dans l'oeuvre de Fred Vargas, fille du surréaliste Philippe Audoin, auteur d'un livre sur Fourré. Mes publications sur papier sont plutôt rarissimes, et je n'ai pas souvenir d'avoir jamais reçu le même jour deux documents avec mes contributions.
Quoi qu'il en soit, le surréalisme peut être un lien entre Fourré et Rennes-le-Château, puisque c'est André Breton lui-même qui a fait connaître Fourré, et son disciple Gérard de Sède qui a popularisé l'énigme du Razès dans son L'or de Rennes (1967).
Parce que le thème m'inspirait davantage que d'autres fariboles, j'ai utilisé la piste Rose+Croix privilégiée par Gérard de Sède, en mentionnant nommément dans ma nouvelle le premier manifeste Rose+Croix, la Fama Fraternitatis de 1614, que les familiers abrègent volontiers en FAMA.
Alors que l'anagramme est le thème directeur de L'enchanté réseau (anagramme de Rennes-le-Château), je me suis avisé en réglant ma cotisation en retard à l'AAMF que c'était une anagramme de FAMA...
Quelques petites choses annexes :
- Je ne peux donner ici de précisions qui ne seraient peut-être pas du goût des propriétaires des véhicules concernés, mais je crois devoir signaler de multiples synchronicités impliquant des numéros d'immatriculation au cours de cette affaire. Ainsi, le 25, après avoir reçu le FdL 21 et l'OdS 34, je me suis remémoré l'envoi du Roi Mézel en juillet, à la fois du 21 et du 89, et, à l'instant précis où j'avais ces nombres en tête, j'ai croisé presque l'une à la suite de l'autre deux voitures avec chacune 21 et 89 dans leurs immatriculations (dont le détail m'est encore plus signifiant).
- J'ai déjà rencontré un autre livre remarquable, de même format 225x140 mm que Rêves de Razès, et dont l'achevé d'imprimer est daté du 19 mai 2000 (soit le jour où tombe la petite section d'or d'une année bissextile). Il s'agit de La mort des neiges, de Brigitte Aubert, étudié ici.
- Je pensais avoir innové en faisant intervenir Debussy dans une fiction castelrennaise, or depuis l'écriture de ma nouvelle est paru Sépulcre, de Kate Mosse, en octobre 2007 pour la version originale, où une partition de Debussy est au coeur de l'énigme languedocienne. Je n'y ai jeté qu'un coup d'oeil.
- Le titre de ce billet fait allusion au dernier vers du recueil Alphabets :
UNRAZESTLOI
que Perec propose de lire "un raz est loi", tout en indiquant que d'autres lectures sont possibles, alors j'ai gardé la séquence Razès pour proposer une anagramme formant un vers tout aussi valide.
- Je comptais inclure le récit d'une autre promenade début mai, riche en coïncidences fibonacciennes, mais ce sera l'objet du prochain billet.
Note du 8 juin : cette réception le 25 mai de FdL 21 et de OdS 34 m'a rappelé une aventure éditoriale que je me suis abstenu de mentionner, tant elle restait hypothétique, et voici que j'apprends aujourd'hui la parution officielle de Teckel n° 4 le 16 juin, ce qui va actualiser la coïncidence détaillée sur cette page.
Mes différentes contributions totaliseront ainsi 21 pages dans les numéros 3-4 de Teckel, et 34 pages dans les numéros 2-1.
Note du 12 juillet : je ne comprends pas comment j'ai pu oublier jusqu'à hier que mon actualité éditoriale de mai comptait un autre titre que l'OdS 34 et le FdL 21, la BLO 13, ou 13e volume de la Bibliothèque de la Liste Oulipo, qui honore de jeux de langage divers un membre de cette liste, à ne pas confondre avec l'Oulipo tout court (dont certains membres sont cependant sur la liste). Cette BLO 13 fut décidée fin janvier pour célébrer les 50 ans de Jacques Perry-Salkow (auteur de deux recueils d'anagrammes au Seuil), imprimée à 1 exemplaire officiel, et remise à l'intéressé le 22 mai.
Je m'étais pourtant émerveillé, en consultant peu avant le projet, de voir que cette BLO 13 réunissait les oeuvres de 21 contributeurs.
On peut voir ici ma contribution, et là l'ensemble du recueil (10 Mo).